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Maud Reynier, fille unique d'un chirurgien réputé, est sauvagement attaquée et secourue de justesse par un joggeur. Mais son agresseur n'a qu'une obsession : finir le travail... tandis que le professeur Reynier, défiant la raison, s'obstine à ne pas vouloir prévenir la police.
La villa du célèbre médecin, où Maud est est enfermée avec ses proches, devient le décor d'un huis clos inquiétant, et les secrets grondent en sourdine. L'ensemble s'accorde, fortissimo, et soudain : quelques fausses notes...
C'est le seul livre de Karine Giebel que je n'ai pas apprécié. Je l'ai trouvé trop long, les chapitres se ressemblent, et il y a peu de rebondissements. Face aux autres œuvres de Karine Giebel qui ne cessent de nous surprendre au fil des pages, je trouve qu'ici on tourne vite en rond. Le dénouement final n'est pas à la hauteur, on le devine dès les 100 premières pages. Je n'ai pas été autant surprise qu'en lisant les autres livres de l'autrice, et pour la première fois, je me suis ennuyée.
Dès le début, Karine Giebel saisit son lecteur dans cette intrigue surprenante.
Dans cette ambiance malsaine, mensonges, faux-semblants et manipulations sont les maîtres mots de cette lecture.
La tension monte crescendo, des personnages à la psychologie déroutante, un dénouement un peu trop prévisible pour ma part mais les dernières révélations ont mis un peu de piment à cette fin de lecture.
Intrigue prenante mais légèrement déçu par la fin et les révélations. J'ai aimé les différents points de vue. Bonne lecture pour tous les fans de policiers. Certaines actions des personnages sont parfois incompréhensibles
9ème livre de Karine Giebel et toujours une réelle satisfaction de la lire.
Un début intriguant où le fin mot de l'histoire arrive dans les toutes dernières pages, que demander de plus pour un thriller 😁
Ici, elle nous livre l'histoire de l'éminent Professeur Reynier, chef de clinique, père de Maud qu'il élève seul depuis des années, marié en secondes noces.
Maud se fait agresser sauvagement au détour d'une promenade et de là on sera pris dans un huis clos où la fin n'est pas du tout attendue.
Bravo Madame Giebel, vous me transportez toujours autant…
Un véritable page-turner, il ne m'a fallu que deux séances de lecture pour le lire de bout en bout. Un régal, alors que ce n'est pas mon genre de prédilection. Mais quand un livre est bon, il est bon ! On apprécie les rebondissements de fin qui tiennent en haleine jusqu'au bout !
J’aime la plume de cette écrivaine. J’adore le déroulement de ses romans. Incontestablement, le lecteur savoure les pages et les événements. Alors, est-ce un coup de cœur ? Non… pas tout à fait… il ne manquerait pas grand-chose. Mais non.
Malgré le plaisir éprouvé à parcourir cette histoire, la fin, surprenante et quelque peu alambiquée, me laisse un peu sur ma faim. Le coupable imaginé n’est pas celui auquel je pensais et je suis un peu déçue que ce coupable soit ce personnage-là. J’aurais préféré une autre chute et un autre dénouement pour me satisfaire pleinement.
Par contre, nulle déception ne vient altérer le cours de ma lecture. J’aime le mélange suspect de bons sentiments et de sentiments passionnés. J’adore les relations torturées des uns et des autres, les liens qui se tissent sur du faux et des apparences… Les portraits psychologiques sont assez efficaces. Il faut que je laisse un peu de côté ma réflexion sur le jeune personnage qu’est Maud, pauvre petite fille riche. Quelques caricatures apparaissent aussi mais quand on est lecteurs, on retrouve des traits caractériels déjà rencontrés dans d’autres livres et ceci est inévitable. Notre opinion se fait vite une idée de la psychologie et des gestes des protagonistes…
Quant à la violence, assez forte dans les romans de Karine GIEBEL, elle se fait plus discrète parce qu’elle n’a pas de raison d’être dans cette histoire de passés entremêlés.
En bref : Mis à part la chute de l’intrigue, quelques personnages un peu stéréotypés, j’aurais toujours un grand plaisir à lire d’autres livres de cette auteure dans un an…
J'ai bien aimé ce thriller psychologique ou la tension monte tout au long du récit sans laisser de répit. Maud, une jeune femme d'une famille riche se fait agresser. Luc, son sauveur se fait embaucher par le père comme garde du corps. Mais le loup est peut être entré dans la bergerie. Une histoire de vengeance impitoyable. Qui en veut à cette famille et plus particulièrement au père, chirurgien de renom ? Les chapitres courts apportent un rythme soutenu tout au long du récit. L'angoisse de cette menace qui plane en permanence au dessus de leurs têtes nous tient en haleine jusqu'au dénouement fatal et inattendu. Je me suis attachée au personnage de Luc, que l'on sent écorché vif que la vie n'a pas épargné, malgré ses 26 ans. Maud, elle, a un coté gosse de riche assez énervant, mais elle aussi a son coté sombre et la culpabilité la ronge. Quand au père, le professeur Armand Reynier est un être passablement détestable, qui pense que tout lui est du et que tout peut s'acheter. L'avenir va lui prouver le contraire et il va le payer cher. A nouveau, Karine Giebel m'a embarquée une fois de plus dans son univers sombre.
Résumé
Maud Reynier, fille unique d'un chirurgien réputé, est sauvagement attaquée et secourue de justesse par un joggeur. Mais son agresseur n'a qu'une obsession : finir le travail... tandis que le professeur Reynier, défiant la raison, s'obstine à ne pas vouloir prévenir la police.
La villa du célèbre médecin, où Maud est est enfermée avec ses proches, devient le décor d'un huis clos inquiétant, et les secrets grondent en sourdine. L'ensemble s'accorde, fortissimo, et soudain : quelques fausses notes...
Le temps de l'impunité est révolu.
Le temps des souffrances est venu.
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